jueves, 30 de agosto de 2012

Putain d'isalopes par Valentino Wajciechosczaf

http://putaindisalopes.blogspot.com.es/

 

Chap. 17 : Où ça commence en couille et se termine en chatte.



C’est con, mais la scène avec Hildegarde m’avait un peu remué. J’avais du mal à me remettre au boulot. Il fallait impérativement que je me détende. Je me suis préparé un Cointreau ananas, j’ai pris une cigarette et, allongé sur le canapé, j’ai commencé à écouter Le Dialogue des Carmélites de Poulenc, ça s’imposait ! Sœur Jeanne de la Divine Enfance, Sœur Blanche de l’Agonie du Christ, Sœur Marie de l’Incarnation, Sœur Anne de la Croix... Nous sommes de pauvres filles rassemblées pour prier Dieu. Méfions-nous de tout ce qui pourrait nous détourner de la prière, méfions-nous même du martyre. La prière est un devoir, le martyre est une récompense, puis le vœu du martyre pour mériter le maintien du Carmel et le salut de la Patrie, troisième acte... Ben voyons, ça devait arriver, ce putain de téléphone, et juste à la fin, et merde ! Merde et merde et putain de merde !

Chap. 16 : Ciao belladonna !



De retour chez moi, je me suis refait une petite session de magnétophone. Putain d’isalope ! Putain d’extase ! Une sainte ? Mouais... Je commençais à avoir pas mal de matière pour me mettre à ordonner un peu tout ça et rédiger l’article qui allait avoir de la gueule, j’en étais persuadé. La sonnerie du téléphone :
- Alors, ces religieuses ?
- Salut, Hildegarde. Les religieuses ? Au café !
- Quoi ?
- Je les préfère au café, au chocolat, non !
- Tu te sens bien ?
- Pas mal.
J’allais pas me mettre à lui raconter ma matinée, d’ailleurs, elle m’aurait certainement pris pour un illuminé, et menteur en plus ! Je me disais que ses sous-vêtements comestibles étaient loin de valoir l’épais tissu de mon isalope extasiée !

Chap. 15 : Quand les anges démangent.



Héloïse était partie, j’étais resté comme un con à la regarder s’en aller, ce cul, putain de cul !, elle ne s’était pas retournée, seul son cul qui partageait, divisait et unissait tout le reste de son putain de châssis ! Je me disais que ça aurait pas été mal de rester encore un peu ensemble, pas pour baiser, non, d’ailleurs j’avais la queue dans un état !, non, simplement pour être ensemble, et puis je suis vraiment trop con, ouais, d’abord, qu’est-ce qu’on aurait foutu ensemble ? La seule chose que je savais d’Héloïse, c’est qu’elle avait un petit ami à la masse, un givré des collants de sa sœur qu’il s’enfilait dans le cul et..., j’ai déjà raconté ça, pas besoin d’y revenir. Bon, quoi d’autre ? Qu’elle travaillait à Fragrance shop, une des boutiques de Romain Mords-moi-l’noeud, et puis quoi d’autre ? En fait, je savais l’indispensable, d’elle, et de moi par rapport à elle : elle avait un putain de corps et j’étais dingue de son putain de corps ! Bon, quand même, deux ou trois petites choses : quand on la limait, elle était expressive : Vas-y, baise-moi, défonce-moi ! Salaud, tu vas me faire jouir ! Tu vas me faire jouir, continue comme ça, mets ton doigt dans mon petit trou du cul, branle-moi le con ! Allez, laisse-moi de sucer les couilles ! Ah, comme tu la bouffes ma chatte, je vais décharger, tiens, prends ça, Ah, salaud, tiens, allez, tiens ! Y a pas à dire, elle était expressive ! Et puis, je savais aussi qu’elle aimait ça, bordel de dieu, pour ça, oui qu’elle aimait ça ! C’était suffisant. Je me souviens qu’un jour Néné m’avait demandé ce que je leur trouvais à mes branleuses à peine sevrées, je lui avais répondu que ça se voyait à l’œil nu, Oui, mais, en dehors de ça ? qu’il m’avait demandé, mais y avait pas d’en dehors de ça, j’avais aucune intention de m’installer en ménage, de leur faire un môme et d’entrer dans une sorte de rumeur morose de l’existence, c’était comme ma respiration, j’en prenais une bonne gorgée et la vie me paraissait moins pesante, mais y s’accrochait, Néné, et il me disait : Mais ça mène à quoi, et après ?, il était quand même comique, mon pote Néné, le but était inclus dans l’acte, comme au resto, service compris, y avait rien avant, rien après, ça menait à soi-même, et puis qu’il vienne pas trop me titiller les neurones, c’était quoi, hein, c’était quoi quand il passait des heures et des heures devant des matchs de foot, hein, c’était quoi !, moi je préférais tout simplement le frisson des culs, des nichons, des chattes, question d’émotion et d’esthétique ! Mais avec Héloïse, y avait un truc qui tournait pas rond ! Elle me trottait dans la cervelle à longueur de temps, qu’est-ce qu’elle pouvait bien avoir, cette môme, pour que ça me fasse cet effet-là ?

Chap. 14 : Putaparc



Pour mon article, il me restait à aller voir les personnes qui avaient accepté de me rencontrer : Sœur Angèle de l’Adoration, Lola de Valence et Catherine Durand. Deux jours plus tôt, j’étais allé explorer la faune putesque qui se réunit dans et autour de ce qu’aujourd’hui tout le monde appelle Putaparc, juste à la sortie de la ville. Plutôt que de me joindre à la file des reluqueurs, j’avais préféré faire ma petite promenade à pied. Putain, comme y en avait de la viande avachie, des gueules décorées à la petite vérole, des ventres à étages, des cuisses haltérophiliques, les muscles en moins ! Et je me demandais quel type de déglingué enfonçait se queue dans ça ! Cette humanité qui me donnait le plus souvent la gerbe, me faisait, à cet instant précis presque pitié, pas une pitié genre compassion, non, une pitié presque attendrie. Je suis un sentimental, j’en ai déjà touché deux mots, eh bien tout ça me remuait un peu et je me disais qu’elles seraient quand même mieux, tranquillement installées chez elles, à regarder la télé, à tricoter ou à donner un petit frisson masturbatoire à leur mari qui n’en avait certainement plus pour très longtemps ! Je m’approche de l’une d’elle :

Chap. 13 : Hymne à cette putain d’isalope sublime d’Héloïse.



Héloïse ! Sublime Héloïse ! Putain d’isalope sublime ! Putain de cul ! Putain de chatte ! Putain de nichons ! Putain de tout ! De Tout ! Même mon nez prenait un plaisir dingue à se frotter contre sa chatte ! Y avait pas d’abats, rien à jeter, tout était bon ! Et son nombril ! Chaque putain de centimètre carré de sa peau ! Même quand sa bouche avalait ma queue, elle avait la température idéale ! Et une langue, putain, sa langue ! Elle savait y faire ! Ses oreilles me plaisaient aussi, j’aurais aimé m’enfoncer dedans, j’aurais aimé qu’elle puisse jouir aussi par là ! Par ses trous de nez aussi ! Tout était bon chez cette putain d’isalope d’Héloïse ! Tout !

viernes, 3 de agosto de 2012

Franz West

Fallece el escultor Franz West

El artista austriaco muere, tras una larga enfermedad, a los 65 años


Franz West con una de sus "Adaptives" en la cabeza

http://www.elcultural.es/noticias/ARTE/3516/Fallece_el_escultor_Franz_West

El escultor austriaco Franz West falleció en la madrugada del miércoles al jueves en la ciudad de Viena a los 65 años de edad y tras una larga enfermedad, según informó su cuñado al diario austriaco Kleine Zeitung. El Museo de Arte Contemporáneo de Viena (MUMOK) tiene previsto organizar una exposición retrospectiva dedicadal artista, galardonado con el León de oro en la Bienal de Venecia el pasado año, del 23 de febrero al 26 de mayo de 2013.

Franz West, Nannerl

Franz West ha sido uno de los artistas austriacos más destacados, nació en 1947 en Viena, ciudad donde vivía y trabajaba. West comenzó su carrera a mediados de los años 60 en su ciudad natal cuando el movimiento local "Actionism" se encontraba en pleno apogeo. Sus primeras esculturas, performances, y collages surgen a partir de este movimiento experimental, en el que los artistas trataron de despertar la pasividad del mundo del arte enfocando su obra hacia la destrucción, la grotesquería, y los extremos corporales.

miércoles, 1 de agosto de 2012

El arte de descontextualizar objetos

El arte de descontextualizar objetos

Ruth Zaragoza descubrió que el arte no termina en la pintura, y aprendió a aprovechar utilizar estropajos, cremalleras o filtros de café para crear su obra

La artista Ruth Zaragoza durante el proceso de creación de 'Mare mediterráneo'.
 
Ruth Zaragoza hace arte a partir de objetos tan cotidianos como geles de baño, estropajos, cremalleras o filtros de café. Esta catalana (porque ha vivido en Barcelona "toda la vida") nacida “casualmente” en Wisconsin (EE. UU.), en 1975, logró encontrarse a sí misma como artista gracias a sus viajes y cambios de residencia. Se licenció en Bellas artes en Barcelona, estuvo de Erasmus en Londres un año, donde se dedicaba fundamentalmente a estudiar y a pintar. Trabajó en la Bienal de Sao Paulo, y descubrió otras formas de arte que iban más allá de la pintura e involucraban a los objetos. Después consiguió una beca del Instituto Superior de Arte para marcharse a Cuba, donde haría un trabajo de investigación, y allí se relacionó con artistas cubanos. Descubrió el mundo visto desde el comunismo. Pasó a formar parte de un colectivo de artistas llamado Galería DUPP, que le permitió encontrar otra forma de ver el arte que no había conocido en Europa: “Me di cuenta de que podía pintar no solo con pintura y un lienzo, sino también con objetos”.
No le gusta que su obra se encasille en una corriente artística definida. Se define como una artista ecléctica, preocupada por transformar los objetos que tienen una utilidad predeterminada en valores artísticos, a través de la técnica y la estética. Ahora compagina su trabajo de artista con la docencia dando clase de Técnicas pictóricas en la facultad de Bellas artes de la Universidad de Barcelona.

P. ¿Qué crees que aporta tu propuesta como valor?
R. Pienso que mi obra tiene un valor ético, moral... incluso político. En todos mis trabajos cuestiono los valores del arte, llevando lo privado, el acto cotidiano a la esfera pública. Descontextualizo un objeto de uso cotidiano (estropajos, cremalleras, pancakes, filtros de café o fósforos) y lo recontextualizo con un nuevo sentido para ensalzarlo como obra de arte, un post ready made de la era de la globalización.
P. ¿Qué posibilidad real ves de poder acceder al circuito estable de la cultura?
R. Todo llegará. Por ahora no tengo prisa, lo que importa de las obras no es tanto dónde se exponen como su calidad. El arte que hago es ecléctico: las obras están entre el diseño, moda, arquitectura, pintura, escultura, fotografía y la instalación.
P. ¿Cuáles son, a tu juicio, las mayores dificultades para los talentos emergentes?
R. La política cultural española no ayuda en absoluto al desarrollo de nuevos artistas plásticos. Seguimos en la época de Picasso, Miró, Tápies, Barceló y no se fomenta lo nuevo por falta de seguridad y apoyo. Los museos españoles apuestan antes por artistas extranjeros.
P. ¿Qué beneficios esperas de salir en una plataforma como esta?
R. Visibilidad, dar ha conocer mis obras.
P. ¿Con qué herramientas cuentan los talentos emergentes para darse a conocer?
R. Hoy en día las redes sociales ayudan mucho, pero yo vivo de espaldas a ellas. Llevo dos años haciendo mi pagina web y aún no la he terminado.