domingo, 31 de marzo de 2013

miércoles, 20 de marzo de 2013

IRAK

Irak: diez años de matanzas, torturas y expolio para enriquecer a multinacionales

 

La monstruosa maquinaria bélica de matanzas y abusos que la Administración Bush puso en marcha hace hoy diez años para destruir el régimen de Sadam Husein y apoderarse de Irak ha dejado un legado tan ponzoñoso como su génesis de mentiras y destrucción: la tortura sistemática es práctica corriente del Servicio Contraterrorista de Irak (CTS), la corrupción y el nepotismo se han establecido como forma de gobierno del régimen aliado de EEUU, y las multinacionales que acudieron al olor de la guerra se han lucrado inmensamente gracias al conflicto, en el que han perecido entre 112.000 y 122.000 civiles, según los cálculos meticulosos y conservadores de la ONG Iraq Body Count.
Una investigación del Financial Times acaba de concluir que Washington se ha gastado al menos 138.000 millones de dólares en contratos a grandes empresas implicadas en seguridad privada, logística y reconstrucción en Irak. Y que la compañía que más se ha beneficiado de ese maná de fondos públicos ha sido KBR, exsubsidiaria de la corporación Halliburton que dirigiera Dick Cheney antes de convertirse en vicepresidente de Bush y en el mayor promotor de la invasión ilegal que devastó el país.
KBR se ha embolsado hasta ahora no menos de 39.500 millones de dólares, con lo que encabeza muy destacada el ranking de multinacionales enriquecidas en la contienda, puesto que las dos que la siguen (las kuwaitíes Agility y Kuwait Petroleum Corp.) sólo han sacado 7.400 y 6.300 millones de dólares, respectivamente. A continuación, y también con contratas astronómicas, siguen grandes compañías estadounidenses especializadas en la privatización de las Fuerzas Armadas, como Dyncorp, que se ha llevado 4.100 millones por entrenar a la nueva Policía iraquí, o Triple Canopy (1.800 millones), una de las mayores empresas militares privadas, integrada por ex comandos especiales de la Delta Force.
Pero la iniquidad es mucho más infame de lo que esas cifras nos enseñan. El informe difundido en 2011 por la comisión parlamentaria sobre la contratación privada en las campañas bélicas de Irak y Afganistán estimó que esas empresas de servicios militares habían defraudado o despilfarrado unos 60.000 millones de dólares desde 2001, además de haber estado muchas de ellas (como Blackwater) implicadas en algunos de los más espantosos crímenes de guerra.

martes, 19 de marzo de 2013

24 mars 1163

24 mars 1163

Maurice de Sully et la première pierre de Notre-Dame de Paris



La cathédrale Notre-Dame de Paris, l'un des plus emblématiques monuments de la capitale, a huit siècles et demi d'existence. Les historiens supposent que son chantier a été inauguré par le pape Alexandre III à l'occasion de son passage à Paris le 24 mars 1163.
timbre commémoratifs de La Poste, 850e anniversaire de ND de Paris, DR
Sa construction, de 1163 à 1245 (et au-delà), intervient à un moment charnière de l’histoire de Paris et du royaume de France...
Marc Fourny

Une époque de foi

La façade de Notre-Dame de Paris (photo : Florian Cessac)Avec la fin de l'anarchie féodale, une paix profite peu à peu au plus grand nombre. La capitale s’enrichit, les campagnes se repeuplent, la population s’accroît, les abbés défrichent… et les caisses de l’évêché se remplissent.
Au même moment, la renommée intellectuelle du chapitre de Notre-Dame dépasse les frontières de France.
La qualité de son enseignement attire rapidement une concentration de collèges sur la rive gauche de la Seine, concourant au rayonnement spirituel et intellectuel de la capitale.
En parallèle, le pouvoir royal s’affermit et se consolide, notamment avec l’avènement du souverain Philippe Auguste qui n’a de cesse de renforcer et développer sa capitale, en la rendant sûre et prospère, protégée par une enceinte massive.
Plus d’argent, plus de clercs, plus de fidèles et un roi entrepreneur et protecteur…
Il n’en faut pas plus pour lancer la plus incroyable des constructions : la plus grande cathédrale dans le style gothique.
Le portail central de Notre-Dame de Paris, DR
Celui-ci, caractérisé par la croisée d'ogives, une nef de grande hauteur et de larges verrières, a été révélé une vingtaine d'années plus tôt, lors de la consécration de l'abbatiale de Saint-Denis.

Un évêque visionnaire

Encore faut-il tomber sur un évêque assez visionnaire pour se lancer dans cette aventure : Maurice de Sully accède, en 1160, à la tête de l’un des plus puissants diocèses de France. Il y demeurera jusqu'à sa mort, en 1196.
Qui est-il vraiment ? Un homme de foi, sans aucun doute, à la parole claire et aux sermons évocateurs – il va même prêcher en Angleterre.
D’origine très modeste (son père est paysan, sa mère bucheronne), il vient au monde près de Sully-sur-Loire et se trouve très tôt placé chez des moines bénédictins.
Il rejoint ensuite Paris pour poursuivre ses études, mendie son pain, fait le ménage chez ses condisciples, devient clerc et intègre le prestigieux chapitre de Notre-Dame qui finit par l’élire évêque.
L’homme est intelligent, humble et pragmatique, un habile administrateur doté sans aucun doute d’un caractère hors du commun.
Lorsqu’il prend les rênes de Paris, il existe déjà une cathédrale romane Sainte-Marie sur l’île de la Cité, qui vient sans doute d’être rénovée si l’on en croit les dernières études archéologiques, flanquée d’une autre église dédicacée à Saint Étienne.
Vitrail de Maurice de Sully à Notre-Dame de ParisPourquoi détruire ces édifices ? Sans doute parce qu’ils ne suffisent plus à accueillir à la fois un chapitre prestigieux et une foule de fidèles de plus en plus dense – Paris va bientôt compter cinquante mille habitants.
Un autre argument est d’ordre politique : l’archevêque se doit d’afficher son pouvoir, non seulement face aux puissantes abbayes parisiennes de Saint-Victor, Sainte-Geneviève et surtout Saint-Germain-des-Prés, dont les possessions s’étendent en Anjou, en Berry et même en Suisse ; mais aussi pour tenir son rang devant les autres cités qui se lancent dans des constructions audacieuses comme Saint-Denis, Sens, Noyon ou Senlis. Paris doit prendre le train architectural en marche, si l’on peut dire. Et même le devancer.
Les arcs-boutants du choeur de Notre-Dame de Paris, DR

Un pape à Paris

De fait, le chantier démarre rapidement, sans doute dès 1162 pour les fondations, et l’archevêque organise finement ses finances pour assurer des travaux continus. Ses remarquables talents de gestionnaire vont marquer les trente-six ans de son long épiscopat, durant lequel la nef sera quasiment construite aux trois-quarts.
Pour acheminer les matériaux, il perce une nouvelle voie, la rue Neuve Notre-Dame, large de six mètres, à travers un pâté de maisons situé face à la cathédrale.
Les nouvelles cloches de Notre-Dame de Paris, à la veille de leur installation (mars 2013, photo : Fabienne Vignolle)
Au printemps 1163, entre le 24 mars et le 25 avril très exactement, la tradition veut que le pape Alexandre III lui-même pose la première pierre de l’édifice.
L’événement n’est pas impossible puisque le pape a fui Rome et la fureur de l’empereur du Saint Empire qu’il vient d’excommunier. Il a trouvé refuge en France, entre Tours et Paris, et préside la dédicace du nouveau chœur gothique de l’église abbatiale de Saint-Germain en avril 1163.
En a-t-il profité pour faire un détour pour poser la première pierre de la nouvelle cathédrale ?
On sait que le pape appréciait Maurice de Sully. On peut compter sur la détermination de ce dernier pour le convaincre de bénir le chantier. Et faire enrager au passage les moines de Saint-Germain…
Le transept de Notre-Dame de Paris (photo : Stéphane Compoint, pour le hors-série Pèlerin, décembre 2012)
Un chantier de quatre vingts ans
Rien ne démontre à vrai dire que la construction de Notre-Dame ait débuté en 1162 ou 1163, après la visite du pape. On sait seulement que le choeur est achevé en 1177 et le maître-autel consacré en 1182 par le légat du pape, sous le règne de Philippe Auguste.
Une chimère des tours de Notre-Dame de Paris, conçue par Eugène Viollet-le-Duc au XIXe siècleEn 1239, le roi Saint Louis accueille à Notre-Dame la couronne d'épines, précieuse relique pour laquelle sera aussitôt érigé un superbe écrin, la Sainte Chapelle. Le gros oeuvre de la cathédrale est enfin achevé en 1245.
Le chantier a été financé par l'évêque, les chanoines, le roi lui-même et les fidèles. Ainsi l'évêque a-t-il offert cent livres, soit le prix d'une maison de ville, et le roi Louis VII deux cents livres. Le plan initial est réalisé par un certain Ricardus, maître maçon.
De ses quatre successeurs, nous ne connaissons que Jean de Chelles, dont le nom est gravé dans le soubassement du transept sud : «Maître Jean de Chelles a commencé ce travail le 2 des ides du mois de février 1258».

miércoles, 13 de marzo de 2013

Habemus papa. ¡Por Dios!

Omnipotencia económica


Omnipotencia económica

Data de un tiempo bastante lejano, del 3 de enero de 1979, el acuerdo sobre asuntos económicos firmado entre el Estado español y la Santa Sede por el que España colabora con la Iglesia católica para su sostenimiento económico.
Significa esto que la Iglesia, además de poseer libertad jurídica para recabar prestaciones, organizar colectas o recibir limosnas, también percibe una asignación de la cuota íntegra del IRPF –el 0,7% desde el 1 de enero de 2007- cuando el contribuyente expresamente así lo autoriza.
Mediante esta asignación tributaria de carácter voluntario, la Iglesia obtiene alrededor del 25% de su financiación, constituyendo esta cuantía un porcentaje de ingresos que año tras año se encuentra en clara contraposición con sus propios propósitos: lograr por sí misma los recursos suficientes para la atención de sus necesidades (Artículo II, punto 5 de los acuerdos económicos de 1979).
El acuerdo del Estado español con la Santa Sede incluye también, entre otros aspectos, la no sujeción al impuesto de la renta y el consumo de las colectas anteriormente mencionadas, así como la exención total y permanente de impuestos sobre bienes inmuebles relativos a templos, capillas, residencias de obispos, oficinas parroquiales, seminarios o conventos.
En esta línea, la Ley de Mecenazgo 49/2002, caracterizó de un modo más amplio esta última exención a las entidades sin fines lucrativos, especificando en la disposición adicional novena el régimen tributario de aplicación a la Iglesia Católica.
La aproximación al censo actual de las propiedades eclesiásticas resulta, en cualquier caso, una tarea extremadamente ardua y complicada, algo que evidentemente genera cierto desasosiego cuando la Iglesia española es considerada, precisamente, la segunda mayor institución propietaria de bienes inmuebles tras el Estado.
Existen documentos, como la última memoria justificativa de la Conferencia Episcopal, donde puede consultarse el número de parroquias existentes al cierre del año 2010 -22.851-, si bien en relación al conjunto de propiedades de titularidad eclesiástica no se conoce información detallada. Algunas fuentes indican, en cualquier caso, que podría cifrarse en un número superior a los 100.000 inmuebles.
 
Asignación Tributaria Iglesia Católica. España. IRPF
 

lunes, 11 de marzo de 2013

Leer era cosa de hombres

 

Antonia Gutiérrez Bueno, una perfecta desconocida hoy, tumbó en 1837 la prohibición de la Biblioteca Nacional para aceptar investigadoras y lectoras

 
 
Usuarias en la sala de lectura de la Biblioteca Nacional. / carlos montes (bne)
Hay que tener una gran confianza para sentarse a un escritorio y, en 20 líneas, pedir la luna. Lo nimio —un agente subversivo, bien usado— está minusvalorado. En 1955 Rosa Parks, con su empecinamiento rebelde para no levantarse de su asiento en un autobús de Alabama, dinamitó la segregación racial en Estados Unidos. Un siglo antes, con su carta de 20 líneas, Antonia Gutiérrez Bueno, cuyo nombre nadie recuerda hoy, sepultó para siempre la discriminación de género que la Biblioteca Nacional (BNE) arrastraba desde su fundación en 1713.
Hay que tener mucha seguridad para resistir las coacciones sin levantarse del asiento o para, una mañana o una tarde de enero de 1837, sentarse a escribir al ministro de la Gobernación para reclamar un imposible. Es bien probable que Antonia Gutiérrez Bueno creyese que si no estiraba la mano no tocaría la luna. Porque eso era entonces la Biblioteca Nacional, un lugar tan inaccesible para las mujeres como la luna, con la pequeña salvedad de días festivos, cuando las damas podían recorrerla en lo que equivaldría a una visita guiada de la época. Se mira, pero no se toca.
Cuando se sentó a escribir su carta, Antonia Gutiérrez (Madrid, 1781-1874) tenía 56 años, un hijo diplomático y dos obras impresas. En 1835 había publicado el primer volumen de un Diccionario histórico y biográfico de mugeres (sic) célebres y antes, en 1832, un librito con artículos que ella había traducido del francés sobre “el cólera-morbo”, donde entre otros tratamientos ensayados en Francia figuraban algunos tan poco delicados como la aplicación de sanguijuelas en el ano. Ambos libros delatan aspectos de su autora: la ambición intelectual y el interés por la salud pública, sin duda un tanto extravagantes a ojos de otras mujeres decimonónicas. Había vivido en París —quizás el Nueva York de la época— hasta la muerte de su marido, Antonio Arnau, y había crecido en una casa con libros, diccionarios y gramáticas en distintas lenguas, tratados científicos y piano. Antonia fue la tercera hija de Mariana Ahoiz y Navarro y Pedro Gutiérrez Bueno, un ilustrado que acabaría siendo boticario mayor del rey y que acostumbró a sus hijas a pensar más allá de los muros domésticos.
“El padre fue un importante hombre de ciencia y Antonia tuvo acceso a una formación no habitual”, señala Gema Hernández Carralón, jefa del Museo de la BNE y rastreadora de las huellas de la primera investigadora que puso sus pies en la institución. “Fue amigo de Moratín, que le llamaba Petrus Bonus y que apodó Toinette a Antonia”, añade.
Gema Hernández Carralón sospecha —aunque ya nunca podrá confirmar o desmentir su hipótesis— que Antonia Gutiérrez utilizó el Diccionario como “excusa” para lograr que le franqueasen la puerta de la biblioteca. Lo cierto es que nunca publicaría los siguientes volúmenes de aquella obra, que firmó con el seudónimo masculino de Eugenio Ortazán y Brunet y que dedicó “al bello sexo”. Como correspondía a un perfecto caballero.
'Diccionario histórico y biográfico de mugeres célebres', de Antonia Gutiérrez Bueno. / BNE
“Siéndole difícil y aun imposible, a causa de sus circunstancias, procurarse los libros que necesita para continuar su obra, la que va recibiendo bastante aceptación del público”, solicitaba la escritora en la carta de 1837 al ministro, “un permiso para concurrir a la Biblioteca Nacional”. La celeridad de la respuesta a su petición no deja de sorprender. Un mes después se había cambiado la historia, tal vez propiciada por la inusual circunstancia de que España estaba gobernada por otra mujer, la reina regente María Cristina, quien ordenó que le autorizasen la entrada y la consulta de libros. A ella y a todas las mujeres deseosas de acceder a un espacio donde, entonces, se custodiaba todo el conocimiento del mundo. “Esta mitad del pueblo tiene todavía en España conventos donde encerrarse y no bibliotecas donde instruirse”, censuró a propósito del veto machista un consejero de la reina, al tiempo que animaba a María Cristina a desterrar “ese precepto bárbaro” y abrir todas las bibliotecas públicas a las mujeres. Y fue entonces cuando el director de la Biblioteca Nacional, José María Patiño, que había canalizado sin remilgos la petición de Antonia Gutiérrez, se encogió con desagrado y contraatacó con un escrito, dirigido al secretario de Estado de la Gobernación, repleto de pegas (la sala no resultaría suficiente “si llegasen a exceder del número de cinco o seis las mujeres que pretendiesen aprovecharse de este beneficio”) y reproches (en el último año no había recibido “un solo maravedí”).

viernes, 8 de marzo de 2013

Torturadores y jueces del franquismo

‪Querella en Argentina contra Martín Villa, el suegro de Gallardón, torturadores y jueces del franquismo‬

La 'red ciudadana de crímenes contra el franquismo' pedirá la imputación como responsables de delitos de lesa humanidad de los exministros Martín Villa, por el asesinato de cinco obreros en Vitoria, y Utrera Molina, por la condena a muerte de Puig Antich; de 'Billy el niño' por tortura sistemática; y de más de 300 responsables de la represión franquista.

 
De izquierda a derecha: Martín Villa, Fernando Suárez y José Utrera Molina

De izquierda a derecha: Martín Villa, Fernando Suárez y José Utrera Molina

 

La causa por los delitos de genocidio y/o crímenes de lesa humanidad cometidos en España por la dictadura franquista entre el 17 de julio de 1936 y el 15 de junio de 1977 continúa adelante en la Justicia argentina. Tras recoger más de trescientas querellas, la Red ciudadana contra los crímenes del franquismo (Red Aqua) ha decidido pasar a una segunda fase: pedir la imputación por crímenes de lesa humanidad de más de 300 responsables de la represión franquista.
La documentación previa a la querella, a la que ha tenido acceso Público, contempla la petición de imputación de los exministros Rodolfo Martín Villa, por el asesinato de cinco obreros durante una huelga en Vitoria y José Utrera Molina (suegro de Gallardón), por firmar la la condena a muerte de Puig Antich. Asimismo, también solicita la imputación del "torturador" de la Brigada Político Social (la policía política del franquismo) Juan Antonio González Pacheco, alias Billy el niño.
Por último, la querella también contempla la imputación del exministro de Trabajo Fernando Suárez y del guardia civil golpista Jesús Muñecas Aguilar, conocido por su célebre frase en el Congreso de los Diputados el 23 de febrero de 1981: “No va a ocurrir nada, pero vamos a esperar un momento a que venga la Autoridad Militar competente para disponer lo que tenga que ser y lo que él mismo diga a todos nosotros”.
La Justicia argentina contempla la pena de hasta 30 años de prisión por el delito de crímenes de lesa humanidad
“Ya va siendo hora de que la Justicia condene de una puñetera vez a la dictadura, el franquismo y sus colaboradores, que después se vistieron de demócratas”, señala a Público José María Galante 'Chato', miembro de la asociación de expresos y presas del franquismo La Comuna.
La causa contra el franquismo en Argentina fue abierta el 14 de abril de 2010 tras la negativa de la Justicia española a investigar los crímenes de la dictadura española. La denuncia apeló a que la Constitución argentina reconoce el principio de la jurisdicción universal para juzgar a los culpables de los delitos de lesa humanidad. A la querella inicial se han sumado ya otras trescientas que están siendo tramitadas ante el Juzgado Federal Nº 1 de Buenos Aires. La Justicia argentina contempla la pena de 25 a 30 años de prisión por este delito
La voluntad de los querellantes es que la causa abierta por la magistrada argentina María Servini termine con “la impunidad del franquismo”, “restablezca la verdad" y abra la vía a "la reparación de todo el dolor producido”. Reclaman la recuperación a cargo del Estado de los restos abandonados en fosas comunes y su devolución a los familiares, la anulación de todos los procesos judiciales de los tribunales especiales de la dictadura; la condena del expolio económico que sufrieron los republicanos por parte de los vencedores en la Guerra Civil; y, por último, la aplicación de la legislación de crímenes de lesa humanidad contra los supervivientes de la dictadura que tengan las manos manchadas de sangre.

1. Rodolfo Martín Villa, "la porra de la Transición"

jueves, 7 de marzo de 2013

miércoles, 6 de marzo de 2013

Maisie Maud Broadhead (London, 1980)


 
 
También en :
CaixaForum Barcelona

Seducidos por el arte. Pasado y presente de la fotografía
<em>Ignace-Henri-Théodore Fantin-Latour<br>La exhuberancia rosada de junio, 1886<br>Óleo sobre tela. 70,5 x 61,6 cm</em><br>The National Gallery, Londres<br>© The National Gallery, Londres
Ignace-Henri-Théodore Fantin-Latour
La exhuberancia rosada de junio, 1886
Óleo sobre tela. 70,5 x 61,6 cm

The National Gallery, Londres
© The National Gallery, Londres
 
La Obra Social”la Caixa”, en colaboración con la National Gallery de Londres, presenta esta innovadora exposición sobre la relación entre los grandes maestros de la historia del arte, la fotografía de mediados del siglo XIX y el fascinante trabajo de fotógrafos contemporáneos desarrollados en relación con sus antecesores.
"Seducidos por el arte. Pasado y presente de la fotografía" presenta, por un lado, la historia del arte como motor de innovación de la fotografía del siglo XIX y, por otro, los orígenes de la fotografía como catalizadores del trabajo de fotógrafos contemporáneos. Las pinturas y las obras fotográficas, antiguas y contemporáneas, se presentan agrupadas de acuerdo con los géneros tradicionales, como el retrato, el bodegón o el paisaje, para poder explorar las relaciones que se establecen tanto con respecto al estilo visual, como a la experimentación técnica o al método artístico.
La exposición reúne algunos de los fotógrafos británicos y franceses más importantes, junto con las obras de los artistas contemporáneos internacionales, entre las que hay fotografías y vídeos especialmente creados para la exposición y que no han sido mostrados antes al público. Así, obras excepcionales de los grandes maestros como por ejemplo Gainsborough, Ingres, Vernet o Fantin-Latour dialogan con artistas contemporáneos de la talla de Craigie Horsfield, Rineke Dijkstra, Thomas Struth, Richard Learoyd, Ori Gersht y Beate Gütschow, que a su vez exploran la deuda que tienen con sus predecesores del siglo XIX, como Julia Margaret Cameron, Gustave Le Gray o Roger Fenton, también presentes en la muestra.
 
Hasta el 19 de mayo

http://obrasocial.lacaixa.es/nuestroscentros/caixaforumbarcelona/caixaforumbarcelona_es.html

 

martes, 5 de marzo de 2013

L'écriture

L'écriture

Du papyrus à la tablette tactile



Les premiers hommes se servirent des parois des grottes pour communiquer : un support défiant les siècles mais pas facilement transportable. Il fallut trouver mieux...
Les supports de l'écriture ont déterminé au fil de l'Histoire nos façons de lire, écrire et communiquer. Partons à leur découverte dans un voyage plein de surprises, de la pierre et de l'argile des origines aux tablettes numériques d'aujourd'hui.
Isabelle Grégor
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École française, Le Colporteur, XVIIe s., Musée des Arts et traditions populaires, Paris.

De la pierre au calame

Chaque civilisation, en accédant à l'écrit, environ 3000 ans av. J.-C., dénicha une solution dans son environnement : l'argile chez les Mésopotamiens, le papyrus chez les Égyptiens, le bambou chez les Chinois.
Bouts de poterie, carapaces de tortue ou omoplates de chameau firent aussi l'affaire.
 
Carapace de tortue gravée, Chine, 14e s. av. J.-C., Figeac, musée Champollion.
 
La pierre n’est pas abandonnée pour autant, puisque partout les monuments se couvrirent d'inscriptions religieuses, politiques ou de simples graffitis. Le burin est dans ce cas l'outil le plus approprié.
Pour le reste, les professionnels de l’écriture, autrement dit les scribes, ont des outils plus délicats. Dans les vallées de l'Euphrate et du Nil, ils se servent de «calames», roseaux taillés en pointe.
Mais tandis que les Sumériens et autres habitants de la Mésopotamie se contentent d'enfoncer ces calames dans l'argile fraîche, les Égyptiens tracent les lettres sur le papyrus à l'aide d'encre noire, composée d'eau et de suie, ou rouge pour les noms de dieux, fabriquée à base d'un sulfure de mercure.
 
Décret de Callias, 5e s. av. J.-C., Figeac, musée Champollion.

Du papyrus au parchemin

Le papyrus est une plante fibreuse abondante dans le delta du Nil. Ses tiges sont habilement triturées pour constituer un support d’écriture apprécié en Égypte et au-delà. Ce n’est pas un hasard si le papier, connu bien plus tard, lui a emprunté son nom…
Assis en tailleur, le scribe cale entre ses genoux le rouleau de papyrus. Il le déroule d'une main et le re-enroule de l'autre. Cela réclame toute une gymnastique, tant pour l’écriture que pour la lecture.
Le papyrus, coûteux, est réservé aux scribes professionnels. Les apprentis ont à leur disposition des planchettes enduites de cire qui peuvent être effacées à volonté avec la spatule au bout du stylet.
Le scribe accroupi, statuette en calcaire et albâtre, vers 2500 av. J.-C., nécropole de Saqqarah (musée du Louvre, Paris)Dans l’air sec de la vallée du Nil, les papyrus se montrent d’une grande résistance et beaucoup ont traversé les siècles jusqu’à nous. Mais autour du bassin méditerranéen, ils sont bientôt concurrencés par un nouveau support, le parchemin.
Celui-ci tire son nom de la ville de Pergame, en Turquie actuelle (du grec pergamene, peau de Pergame).
Dépités que l'Égypte refuse de leur fournir le précieux papyrus, les artisans de cette ville se tournent au IIe s. av. J.-C. vers le cuir de veau ou de mouton. Il présente l'avantage d’être souple et de pouvoir être utilisé sur ses deux faces.
Dans le même temps, la plume remplace la tige de roseau. Choisie de préférence sur l'aile gauche d'une oie de belle taille, elle apporte davantage de précision au scribe.
Rouleaux de la Torah (XVIIe siècle)Mais en Judée, en Grèce ou encore à Rome, on continue d’écrire sur de longs rectangles de papyrus ou de parchemin roulés en cylindre : le «volumen». C’est encore de la sorte que se présentent les textes sacrés des synagogues juives.
Pour la lecture, il faut utiliser les deux mains afin de simultanément déplier et replier le volumen. Comme cela rend la concentration difficile, on fait appel à un lecteur pour déchiffrer le texte et le lire à haute voix.

viernes, 1 de marzo de 2013

Que nos pillen confesados... o no.

Imagen tomada de la página web del Obispado de Tenerife de Bernardo Álvarez.Obispo de Tenerife: "Es que hay niños que provocan"

Monseñor Bernardo Álvarez, en una entrevista en 2007, declaró: "Puede haber menores que consientan [los abusos homosexuales por parte de adultos] y de hecho los hay... Hay adolescentes de 13 años, que son menores pero están perfectamente de acuerdo y, además, deseándolo"

 

Imagen tomada de la página web del Obispado de Tenerife de Bernardo Álvarez.


El purpurado escocés Keith O'Brian no es el único cardenal imputado, demandado o denunciado por sus encubrimientos de abusos sexuales o sus conductas pederastas. Sólo en el año 2007, la Iglesia católica estadounidense tuvo que indemnizar con 660 millones de dólares, tras alcanzar un acuerdo extrajudicial, a más de 500 víctimas de los abusos del clero norteamericano.
El caso más actual es el del cardenal y exarzobispo de Los Ángeles, Roger Mahony, bajo cuyo mandato se produjeron cientos de casos de abusos de niños por parte de sacerdotes de su diócesis. Mahony está dispuesto a asistir al Cónclave de donde saldrá elegido el sucesor de Benedicto XVI pese a que el colectivo estadounidense de feligreses Catholics United ha hecho público un manifiesto oponiéndose a que el purpurado participe en la elección del nuevo papa en Roma; al igual que han hecho los familiares y representantes legales de las víctimas de abusos sexuales de los curas pederastas de su diócesis. Mahony se negó a denunciar a las autoridades dichos crímenes, cometidos por algunos de sus sacerdotes a lo largo de muchos años.